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LE SAMEDI, C'EST PERMIS!!



Un grand classique! J'ai découvert ce film vers 1999 et je l'ai adoré immédiatement. New Wave Hookers 2 raconte l'histoire d'un gourou qui a des femmes à sa botte qu'il réussit à hypnotiser pour les mettre dans un état de transe tellement violent qu'elles ne peuvent s'empêcher de se jeter sur tout ce qu'elles trouvent pour doigter, baiser, branler, sucer  avaler tout ce qu'elles peuvent attraper.


On commence avec Madison qui se balade dans les rues de Los Angeles, visiblement en chaleur et à la recherche d'un homme à rendre heureux. Elle a été elle aussi hypnotisée par son gourou et n'est donc plus dans son état normal puisqu'elle est prise d'une démence sexuelle qui la rend absolument incontrôlable... ce qui ne va pas l'aider à réprimer son désir. Elle marche en ondulant dans l'obscurité, dans sa mini robe blanche fluo et en se caressant sensuellement. Elle a envie de sexe, elle a envie de se donner du plaisir, d'en recevoir et d'en donner. Elle est un peu seule mais sa tenue agit comme un signal envoyé en direction des amateurs de chatte en chaleur. Les rues sont désertes pour elles mais on sent bien que ce n'est que temporaire. Une chance pour elle : Peter North et l'anaconda qu'il a dans le froc sont de sortie et telle une pute, elle est abordée sur un grand boulevard. Au volant, Pete apparait comme cette caricature de clients de prostituées : le genre de mec BCBG mais qui est certainement un baiseur acharné dans l'intimité. Elle n'a pas à discuter bien longtemps ou à se lancer dans de grandes tentatives de séduction puisqu'elle est chaude comme la braise et n'attend que ça, alors pourquoi perdre son temps ? Surtout qu'il se fait déjà tard.

Elle se présente à peine et l'emmène avec elle sans trop hésiter. Une fois dans leur coin "discret", elle découvre l'immense queue cachée dans le pantalon de Pete North. Je vous l'avait dit : il a beau porter un costume lambda et avoir l'allure d'un mec "bien sous tous rapports", il a une énorme bite déjà bien dure qui ne demande qu'à être humidifiée. Aussitôt, Madison se met à le pomper à fond, comme une salope, en prenant sa queue jusqu'au plus profond de sa gorge sans jamais s'étouffer, histoire de lui montrer à lui et aux pornographes en herbe que nous sommes qu'elle est extrêmement expérimentée... Et là, en voyant combien Peter North apprécie ça et avec quelle hargne elle lui taille cette pipe, on bande instantanément, s'imaginant avec un tel engin en bouche.
Après ce passage, Madison se laisse faire et se fait brouter la chatte par un Peter North décidément bien porc comme on l'aime puisqu'il lui bouffe la chatte à la faire crier de plaisir. Elle en tremble et s'accroche au mur... Il finira, après l'avoir défoncée à jouir dans sa main, elle lui lèchera la queue pour le nettoyer avant de la jeter en mode "humm, ça commence en devenir mou, je n'en veux plus" pour s'attaquer à une autre queue, celle d'un SDF se trouvant là et joué par Tom Chapman. Bon, laissez tomber pour cette scène, y'a vraiment rien à voir : non seulement la scène est d'un ennui profond mais c'est assez difficile de regarder cette partie après avoir vu Peter North et sa magnifique bite. Oui, la performance de Tom Chapman et sa petite queue souffrent énormément de la comparaison.
Le bijou de la baise Madison / Peter North réside dans l'incroyable désir qui domine l'ambiance de cette scène. Madison est dominante, elle est la salope qui se trouvait au bon endroit au bon moment, elle mène la danse et provoque plus de désir qu'elle semble en recevoir. Leur duo est spontané, libre et sans faux semblants. Elle adore recevoir sa queue qui semble taillée pour ses orifices. Bon point : Peter North gémit et en redemande. Et rien que de le voir dans cette scène m'excite suffisamment pour que je m'en serve à mon tour pour jouir. Il m'arrive même de me contenter de ce passage pour atteindre le plaisir. Après tout, un homme qui gémit quand on a sa queue en gorge, c'est bien qu'il aime ça ?! Alors, c'est bon. Bon boulot, Madison.
 
La suite du film laisse place à une scène avec Randy Spears, bof, un mec qui m'a presque jamais excité même s'il a une jolie queue et un corps pas mal. Passons à l'essentiel : la super baise à 6! Patricia Kennedy est comme une espèce de pute en chef dans cette scène et se trouve dans son salon en compagnie de la jeune Cameo et de Rikki Lee, une collègue. Elles parlent de sexe tandis que des hommes leur broutent la chatte avec précision (et leurs coups de langues donnés à l'écran laissent rarement de marbre). En fait, Patricia forme la jeune Cameo à l'art de la baise, lui expliquant que les hommes peuvent te sortir en balade, t'emmener dîner mais la meilleure chose qu'il puissent faire... c'est de te baiser. Là, immédiatement, je suis content d'avoir vu ce film alors que j'étais jeune car j'ai littéralement bu ses paroles, au point de considérer ce personnage comme un mentor! Passons. Patricia explique que la meilleure façon de les mettre à l'épreuve, c'est de foutre leur tuyau immédiatement dans sa bouche.

Et c'est parti. Patricia & Rikki taillent chacune une pipe à leur partenaire. Lentement, doucement mais avec passion. Avant l'engouement pour le gonzo et les scènes hard tournées rapidement dans des conditions très limitées, Patricia Kennedy a su tailler une pipe au ralenti mais avec action. TT boy a un corps magnifique, pas trop musclé mais ferme. Un cul bombé qu'on souhaiterait voir s'asseoir sur sa bouche (ou sur sa queue... et oui) et une bite magnifiquement extraordinaire, le genre de queue qui doit déchirer mais faire du bien parce que celui qui te baise, il te baise avec puissance virilité et dans la durée. Pendant ce temps, Cameo apprend l'art de la Pipe et pompe doucement mais surement. Une fois que les queues sont suffisamment dures et baveuses, nos putes en chef se font baiser au rythme d'un solo de guitare vraiment excitant. Là, bizarrement, j'imagine des tas de rock stars, rejoignant ces femmes et, par manque de trous disponibles, finissent par me baiser comme une chienne au milieu de cette magnifique orgie. Et je suis sûr que je serais le premier à en redemander.


Ceux et celles qui connaissent TTboy savent que ce n'est pas un performer que l'on pourrait qualifier de sensuel. Excellent pour défoncer un cul ou une chatte, gicler à la gueule d'une partenaire, se faire sucer et brouter une chatte mais beaucoup moins sensuel et pourtant... cette scène prouve l'inverse. Il semblerait que Patricia Kennedy et lui se soient bien entendus quand on voit l'alchimie de leur scène. Ils ne font pas que baiser : ils sont en harmonie. Les baisers n'ont pas l'air simulés, ils se lèchent sans trop en faire ou sans donner l'impression d'être forcés mais plutôt comme s'il serait "bête" de rester à se regarder en pleine baise. Et comme je te comprends, Patricia Kennedy! Pas étonnant que les deux aient tourné pas mal de scènes ensemble par la suite et ça serait idiot, lorsque l'on s'entend tellement bien sur le plan sexuel de se priver de parties de plaisir. La scène atteint un niveau de perversité et d'excitation de qualité lorsque l'on voit Cameo, la jeune pute vierge apprentie, accueillir en elle deux queues transpirante dans sa chatte serrée. Elle pousse des cris et semble gémir comme elle n'a jamais gémit... Et faut dire qu'ils n'y vont pas de main morte et le spectateur assiste à un spectacle d'une grande beautés où deux hommes bien murs et bien faits baisent une débutante. Leurs queues sont de taille normale, bandante et lisses. J'ai souvent rêvé de leur lécher les boules, de baver sur leur cul pendant qu'ils baisent Caméo.

Le reste du film laisse place à une scène mettant toujours en scène mon chouchou TTboy. Il apparait déguisé en lampadaire, certainement une métaphore pour cette homme dont les performances illuminent toujours ma vie masturbatoire et tâchent toujours mes draps et mes vêtements! Ses pectoraux sont particulièrement saillants. Après avoir servi de meuble, Ttboy voit Savannah et April Rayne en pleine séance de baise lesbienne. Elles se déshabillent, se déhanchent et se caressent. Elles ne se contentent pas de baiser mignognement, elles y vont à fond et sortent le gros gode que Savannah enfonce à fond dans le cul d'April qui se doigte avec rigueur. La scène ressemble à une espèce de conte de fées porno avec des tons roses, une Savannah qui a l'air d'une princesse et TtBoy qui joue le rôle de la bite charmante, celle que l'on attend depuis toujours ! Forcément, le "prince" ne peut résister longtemps avant de se joindre aux deux chattes en chaleur pour les défoncer.
Il v'a s'occuper d'April en la ramonant généreusement pendant qu'elle broutera le cul de Savannah. Un nirvana de plaisir. Imaginez juste ce que l'on peut ressentir dans ces moments là. Après l'avoir bien défoncée, c'est Savannah qui lui offre son cul pendant qu'elle est broutée par April. Un pur délice : la stimulation simultanée de deux zones de plaisir. Les deux femmes jouissent et ne semble plus connaitre la moindre limite. La musique est également rock 'n roll et au fur et à mesure que TtBoy baise. Il y va à fond et les différents plans nous offrent de magnifiques vues sur son cul musclés qui n'attend qu'une langue pour gober ses boules et pénétrer gentiment son cul. Un pur régal que seuls les pornographes de longue date peuvent comprendre!
Je ne vais pas m'attarder à décrire la suite du film qui, est à mon sens, moins importante que ces trois scènes. Néanmoins, je préfère souligner ce qui a été dit par les réalisateurs qui ont collaboré sur la série des films New Wave Hookers : ce sont des films qui annoncent un virement dans le porno où les femmes vont devenir une nouvelle vague de putes, des salopes qui en veulent, en demandent et en redemandent. Loin de moi l'idée de porter un jugement sur ces propos, mais il se trouve que je les partage et que j'irai plus loin en disant qu'ils m'ont largement influencé. Il y a le film porno brut où on se branle et on se fait du bien. On gicle et c'est fini. Moi je giclais et j'imaginais que tout ce foutre était celui de Peter North ou TtBoy. Je jouissais et j'en redemandais. J'avais envie d'être une chienne qui mène à la baguette et se fait défoncer tout en gardant le contrôle. Rabaissant, vous trouvez ? Non. Super puissant.Comme Madison, il m'est arrivé de me balader dans la nuit en me caressant dans des lieux où trainent certains mecs, en voiture ou à pied, à la recherche de chair fraîche. Je me caressais et bandait sous mes vêtements amples dans l'espoir de trouver quelqu'un qui me rende mon compte, moi la salope autoproclamée, moi la baiseuse à la recherche d'une queue pour m'étouffer la gorge et me ramoner le cul. Et ça a marché. Combien de mecs se sont arrêtés en voiture ? Certains ont même exhibé leur queue après m'avoir fait croire qu'ils cherchaient leur chemin - à 3 heures du mat' forcément - pensant que c'était une stratégie pour baiser. La vérité, et c'est ce que j'ai dit à chaque fois, c'est que c'est une stratégie pour les débutants, moi, j'étais déjà une putain de salope, j'envoyais déjà des signaux de baise et j'avais déjà mes fantasmes. Les mecs me demandaient même mes tarifs et je leur répondais simplement que le prix à payer, c'était de me faire jouir, en m'étouffant la gueule et en me harponnant le cul à coup de grosses bites. Et... Croyez moi, j'en ai vu des bites, principalement d'hommes mariés dont je léchais l'alliance pendant qu'ils étaient en moi. Ou de flics qui, me prenant pour une prostituée, se sont bien amusés avec moi, surtout quand je leur faisais savoir que j'étais à leur disposition... Je pouvais les sucer et les laisser m'enculer mais c'était surtout à condition de faire cela dans des scénarios plus ou moins proches de New Wave Hookers 2, histoire de faire revivre la légende. Rien n'est plus excitant que de baiser là dans le feu de l'action après avoir marché et fait arrêter une voiture à coups de démarche. Rien n'est plus excitant de sucer un mec qui a proféré des paroles obscènes à notre encontre et de le voir dans le rétro de sa bagnole se branler en touchant mon cul. J'ai adoré baiser des mecs à fond sans me retenir, faire bouger leur bagnole, le froid du capot contre mon cul pendant que je me faisais lécher le trou, la buée sur les vitres pendant les 69, la douleur de l'écorce d'un arbre pendant qu'on m'enculait, me mettre à genoux pour pomper un mec pendant que je jouais avec son trou et ses fesses. Là, j'étais Patricia Kennedy, Savannah, April et Madison car j'étais en représentation de cette nouvelle vague de putes : les gratuites et qui vont jusqu'au bout car elles adorent ça. Celles qui sortent dans des vêtements sexy et révélateurs, celles qui baisent au point que leur partenaire tremble en enfilant la capote, lui qui venait m'aborder avec fierté et assurance mais qui perd tout contrôle car il tombe sur une chienne en chef, avide de mettre en pratique sa façon de baiser et d'atteindre le plaisir. Et si je recevais des propos tels que "Petite salope, va! J'en étais sûr que t'étais une grosse chienne" ou des "putain, tu suces bien, viens que j'avale ton cul pour te baiser comme une chienne", c'est encore mieux.
Mes souvenirs de baise restent intacts dans ma mémoire car ils sont la continuité de ce film, ils sont la conséquence quasi spirituelle que ce film a eu sur moi et c'est tout simplement génial.



Après Traci et Ginger, c'est au tour de Madison et de la regrettée Savannah
de nous dévoiler tous leurs talents… et le reste!!
Bon film et bon week-end ;-)






NEW WAVE HOOKERS 2


États-Unis / 1991
Réalisation : Gregory Dark
Scénario : Bill Miller
Photographie : Alex Dark
Montage : Bill Miller
Avec : Madison, Peter North, Tom Chapman, Danielle Rodgers, Randy Spears, Cameo, Patricia Kennedy, Rikki Lee, Cal Jammer, Joey Silvera, TT Boy,  Ashley Nicole, Marc Wallice, Randy West, Tony Montana, Amanda Stone, April Rayne, Sandra Scream, Savannah, Jamie Leigh...





SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT : "Atlantix, une étrange secte de femmes dominatrices, a décidé d'asservir, corps et âmes, un monde d'hommes obnubilé par le sexe..."





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