UN SAMEDI D'EXCEPTION!!
D'abord parce qu'il marque la suite d'une collaboration avec VALOR, son énorme... collection, et surtout son immense... générosité!!
 Ensuite, parce que le film d'aujourd'hui est, à ma connaissance, introuvable (en VF j'entends) sur la toile, tout réseau de partage confondu!!
Ensuite, parce que le film d'aujourd'hui est, à ma connaissance, introuvable (en VF j'entends) sur la toile, tout réseau de partage confondu!!De plus, il est brillamment réalisé par quelqu'un d'atypique dans le porno, puisque Phillip Schuman, dont "Randy" est l'unique film X, est surtout connu pour son making-of des "Aventuriers de l'Arche Perdu", qu'il réalisera l'année suivante.
 Enfin, outre les formes généreuses de Desiree Cousteau dans le rôle titre, vous y retrouverez quelques visages connus (et d'autres choses!), comme Jessie St James, Lori Blu ou Juliet Anderson (souvenez-vous, la blonde aux cheveux courts qui débuta sa carrière tardivement, et dont j'ai trouvé une photo d'elle toute jeunette!!) dans le rôle de la méchante!
Enfin, outre les formes généreuses de Desiree Cousteau dans le rôle titre, vous y retrouverez quelques visages connus (et d'autres choses!), comme Jessie St James, Lori Blu ou Juliet Anderson (souvenez-vous, la blonde aux cheveux courts qui débuta sa carrière tardivement, et dont j'ai trouvé une photo d'elle toute jeunette!!) dans le rôle de la méchante! 
Remercions une nouvelle fois VALOR pour ce partage de qualité!!!
BON WEEK-END A VOUS ;)
RANDY
LA FILLE SURVOLTÉE
États-Unis / 1980 
Réalisation : Phillip Schuman
Scénario : Phillip Schuman, Ben Van Meter, Norwood Pratt
Photographie : Ben Van Meter
Musique : Philip Gonzales
Avec :  Desiree Cousteau, Jessie St. James, Juliet Anderson, Roger Frazer, Lisa Rush, Gina D'Amato, Cyrus James, Arcadia Lake...
SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT : " Randy est jeune. Randy est belle. Randy est fraîche.  Randy est pétillante. Mais Randy est frigide, tout comme sa coloc Pam. Ensemble, elles intègrent la clinique du sexe de la peu  rassurante directrice Pandreck. Lors d'un test  effectué par le Docteur Harrison, Randy se découvre un  sacré "don" : en pleine jouissance, son organisme  sécrète un liquide étrange stimulant aussi bien son appétit sexuel que  celui des autres. Cette substance, baptisée "Orgasmine", l'horrible  Pandreck compte bien s'en emparer avec l'aide de son assistant Frank pour régir le monde..."
LA CHRONIQUE DE THROMA POUR PSYCHOVISION:
En pleine ère triomphale du hard américain (1972 à 82 pour situer approximativement), combiner le x avec un autre genre plus "présentable" était monnaie courante. Ainsi, Jonas Middleton et son "Femme ou démon" ou Zebedy Colt avec "Devil inside her" mixaient-ils avec brio horreur et hard en 76 tandis que des oeuvres comme "Sweet savage" en 79 et "A dirty western" en 75 donnaient (mal) dans le western ; ou encore le très fun "Girl from S.E.X." (Paul Vatelli - 81) qui louchait, quant à lui volontiers vers l'espionnage.
"Randy, la fille survoltée" de Phillip Schuman flirte lui, avec la  science-fiction et le mélange s'opère plutôt bien, il faut le dire, même  si l'aspect "anticipation" demeure assez limité. Outre le talent  inhabituel caché (bien caché même) de Randy, il trouve principalement  matière via le cadre très high-tech (toc) de l'institut Pandreck et  l'omniprésence d'ordinateurs dernier cri et de machines abracadabranques  mais aussi en la personne de Frank, le serviteur robotisé de la despote  des lieux (il semble posséder une main mécanique que sa maîtresse aime  glisser dans les endroits sensibles).
Le reste, c'est du pur hard avec figures et pratiques de rigueur : fellation, sodo, triollisme, broute-minou, etc. Rien de renversant et même pire : la délicieuse Desiree, intronisée pourtant vedette principale, dispose de très peu de scènes de cul et concentrées en plus principalement dans les vingt dernières minutes. Décevant et foutre dieu sait ce que la miss a du potentiel dans ce domaine. Ceux qui l'ont vu en action dans ses deux plus gros classiques "Getting off" et "Pretty Peaches" (où elle s'autorise comme ça sans prévenir un "relâchement" à l'horizontal des soupapes internes après avoir subi un lavement par une parodie de médecin) savent de quoi que j'veux causer.
Le reste, c'est du pur hard avec figures et pratiques de rigueur : fellation, sodo, triollisme, broute-minou, etc. Rien de renversant et même pire : la délicieuse Desiree, intronisée pourtant vedette principale, dispose de très peu de scènes de cul et concentrées en plus principalement dans les vingt dernières minutes. Décevant et foutre dieu sait ce que la miss a du potentiel dans ce domaine. Ceux qui l'ont vu en action dans ses deux plus gros classiques "Getting off" et "Pretty Peaches" (où elle s'autorise comme ça sans prévenir un "relâchement" à l'horizontal des soupapes internes après avoir subi un lavement par une parodie de médecin) savent de quoi que j'veux causer.
Et pourtant, "Randy, la fille survoltée" vaut assurément le détour, ne  serait-ce que pour trois séquences des plus cocasses. La première n'est  autre que celle de la découverte de l'Orgasmine où Phillip Schuman  traduit la montée du plaisir de la belle par des plans de plus en plus  frénétiques de son visage mais aussi des réactions du personnel  assistant au test. Le montage allant crescendo dans la fureur, Schuman  en fait encore usage à merveille dans ce qui s'avère être la séquence la  plus réussie du film : pour les besoins d'un autre test destiné à  titiller leur libido, est projetée à Randy et à d'autres cobayes une  tripotée (...) de séquences X en provenance de différents films hard  toute époque confondue sur un fond de musique punk cradingue. Une mise  en abîme intéressante et surtout un gros clin d'oeil à l'industrie du  porno qui s'achève dans l'épilepsie totale (les ultimes images sont  diffusées en ultra-accéléré).
A ne pas louper enfin, le final dément où Pandreck, après avoir capturée et solidement attachée Randy les cuisses écartées, tentera de lui prélever son liquide miraculeux au moyen d'un large tuyau transparent. Ouille ! J'vous rassure, elle sera sauvée de justesse par le brave Dr. Harrison, qui lui évite par la même occasion la marche en canard à vie que cela aurait pu occasionner.
A ne pas louper enfin, le final dément où Pandreck, après avoir capturée et solidement attachée Randy les cuisses écartées, tentera de lui prélever son liquide miraculeux au moyen d'un large tuyau transparent. Ouille ! J'vous rassure, elle sera sauvée de justesse par le brave Dr. Harrison, qui lui évite par la même occasion la marche en canard à vie que cela aurait pu occasionner.
;)
 
 
 
 
 
 
 
 
 













































 
 
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